Notre président:

M. Samuel Dossou-Aworet est né Porto-Novo, capitale du Bénin
le 5 novembre 1944

Diplômé en ingénierie chimique, M. Samuel Dossou-Aworet est engagé dans maintes activités sociales, culturelles et humanitaires. Il est le fondateur du groupe Petrolin et membre du comité d’administration du Conseil d’Entreprises aux Etats-Unis et en Afrique. Il fut, entre autres, le promoteur du projet phare des infrastructures pour le développement commun au Benin et à l’arrière-pays. Il est également le président de la table ronde du commerce en Afrique.

Le palmarès de M. Samuel Dossou-Aworet:

– En 1990, il a été élevé au grade de Chevalier de l’Ordre National de la Légion d’Honneur du Gabon.

– En 1997, il a été élevé au grade d’officier de l’Ordre National de la Légion d’Honneur (ABR)

– En 2008, il a été élevé au grade de Grand Officier de L’Ordre National du Mérite.

– En 2008, il a été élevé au grade de Commandeur de l’Ordre de L’Etoile Equatoriale.

M. Samuel Dossou-Aworet est un homme d’exception doté d’un souffle créateur qui a, toute sa vie, agit avec discernement et talent, toujours à la recherche de l’excellence. Il est convaincu que toute percée scientifique entraîne nécessairement une rupture avec les conventions existantes et repose sur une réflexion à la fois critique et créative. Au cours de ces dernières années, l’Afrique se transforme et un changement drastique des conceptions pédagogiques ainsi que la sensibilisation aux études technologiques est indispensable car celles-ci constituent l’un des axes majeurs de notre quotidien. Il est évident que la présente pandémie du Covid 19 a engendré une réalité nouvelle dans les domaines du travail et de la formation professionnelle. M. Dossou-Aworet en est arrivé à la conclusion qu’une institution universitaire de niveau international d’études à distance serait en mesure de modifier l’image de l’Afrique, particulièrement celle du Benin.

M. Dossou-Aworet est persuadé que l’exploitation des nouvelles technologies et leur application seront aptes à contribuer de façon significative à l’intégration de l’Afrique dans les structures technologiques du monde moderne. Au niveau global, toutes les formes de coopération peuvent être entreprises entre les divers organismes repartis sur le territoire africain et de par le monde, tant sur le plan des programmes d’études que sur celui des échanges d’informations ou de rencontres simultanées en différents lieux.